L’Iceberg, chansons sous la surface
C’est le nouveau projet musical d’Arnaud Le Gouëfflec, avec Mocke et John Trap
Pour « L’Iceberg », Arnaud Le Gouëfflec invite de nombreuses et nombreux artistes à participer à un projet collectif de chansons pop/rock/expés, en tant qu’interprètes, compositrices/teurs, ou aux arrangements. Il en écrira les textes, et John Trap sera chargé du mix. Le guitariste et compositeur Mocke les rejoint dès le début. Le projet aboutira sous forme d’un disque et d’un live.
L’Iceberg est donc un chantier collectif autour de chansons francophones pop, rock, parfois expérimentales, dont le disque compilera une quinzaine de chansons, la partie émergée. La partie immergée, soit le reste des sessions, sera téléchargeable via un coupon associé.
L’objectif est de créer des chansons, beaucoup de chansons, collectivement, en croisant des interprètes et des instrumentistes issues/issus de la scène française, francophone, internationale. Un ouvroir de chansons potentielles. Des « basements tapes » francophones peuplées de nombreuses voix et de nombreux talents. Le but est de créer des chansons qui n’existent pas, et qui n’existeraient pas sans la rencontre de ces différents artistes, chacune et chacun s’aventurant en dehors de ses habitudes.
L’album sortira chez l’Église de la Petite Folie, label brestois souterrain et mystérieux, qui fête ses vingt ans cette année. Depuis 2002, l’Église de la Petite Folie a publié une quarantaine de disques et près de 200 curiosités sous forme de cassettes, cdrs ou downloads.
LINE UP :
Arnaud Le Gouëfflec : écriture
John Trap : mix
Mocke : arrangements
+ une vingtaine d’artistes à l’international
« D’Arnaud Le Gouëfflec on est devenu immensément fou, dévot, grenouille de son bénitier. En l’espace d’une multitude d’albums, en faux solo ou en vrai collectif, le breton est devenu une voix qui compte, qui accompagne, qui obsède. »
JD Beauvallet, LES INROCKS« Auteur, interprète, inventeur de disques étonnants, Le Gouëfflec écrit aussi des romans et des bandes dessinées, quand il n’organise pas un festival consacré aux musiciens singuliers. Comme lui. »
Odile de Plas, TELERAMA